• Chapitre 170 : Le majordome, déambule

    Traduction du texte en VF du chapitre 170 de Black Butler.

    Chapitre 170 : le majordome, déambule

    Chapitre 170 : Le majordome, déambule

     

    "Le temps est venu. Je vais l'accomplir sur une terre lointaine."

     

    Source scans : Traduction officielle de YenPress (scans 1-2)

     

     

    PAGE 1

    Narration : Londres, plusieurs semaines plus tôt.

    Narration : Quartier de Limehouse.

    Ciel, Sebastian et Lau discutent de leur plan pour infiltrer les usines de sang.

    Ciel : Une large quantité de sang est nécessaire pour que mon frère -- la Bizarre Doll -- continue de fonctionner.

    Ciel : Quatre endroits localisés au nord, sud, est et ouest de Londres éveillent mes soupçons quant à l'existence d'usines pour collecter le sang.

    Ciel : Mey-Linn et Ran-Mao iront au nord, au North Yorkshire.

    Ciel : Finny et Snake iront à l'est, à Norfolk.

    Ciel : Bard et Lau iront à l'ouest, à Wiltshire.

    Ciel : Et Sebastian et moi nous dirigerons au sud, à Brighton.

     

    PAGE 2

    Ciel : Nous devons sortir de Londres, mais le Yard doit me guetter à chaque grande station de train.

    Ciel : ...Ce qui veut dire--

    Lau : Il serait mieux de partir par bateau sur la Tamise, où la surveillance est moindre.

    Lau : Dès que nous approcherons de Reading  [note : ville dans le Berkshire]...

    Lau : ...nous prendrons le train.

    Sebastian : Monsieur Randall est bien conscient de la relation qui lie le jeune maître e t Monsieur Lau. Ce n'est qu'une question de temps avant que le Yard ne débarque dans ce repère d'opium...

    Sebastian : Il serait temps de partir sans tarder.

    Lau : En effet.

     

    PAGE 3

    A l'extérieur, sur les quais. Tout le monde embarque sur le bateau de Lau.

    Lau : Ah, attendez.

    Lau (tient une boite dans sa main) : Voulez-vous bien tous mettre ça sur votre tête avant que le bateau ne parte ?

    Ciel : Que diable est-ce ?

    Lau : S'il vous plaît, mettez-le.

    Le bateau s'élance sur la Tamise.

     

    PAGE 4

    Le bateau s'approche du pont de Londres, en pleine construction.

    Homme : Ahoy !

    Homme : Vous là ! Arrêtez !

    Lau : !!

    Lau (pensée) : Ils sont du Yard, de la division sur la Tamise...! Ils contrôlent tout transport sur la Tamise.

    Lau : Ah, bonsoir, bonsoir. Quelle magnifique nuit.

     

    PAGE 5

    Ciel et les autres sont capés et recroquevillés au fond du bateau. L'homme monte sur le bateau.

    Homme : Un criminel sur la liste des recherchés est en fuite, et un réseau de recherche est opérationnel dans tout Londres.

    Homme : Montrez-nous votre cargaison.

    Lau : Ahh. Je livre des "fleurs" aux réguliers. Ne les blessez pas.

    Homme : Des fleurs ?

    Il regarde les figures encapuchonnées et voit des ornements floraux sur les têtes.

    Homme : .....Ah. Vous transportez ce genre de fleurs.

    Lau : Ces messieurs travaillent très dur, durant une nuit très froide.

    Lau  : Payez-vous des boissons chaudes...

    Lau : ...avec ceci.

    Lau lui remet quelque chose dans la main.

     

    PAGE 6

    L'homme regarde dans sa main et réfléchit.

    Homme : .....

    Homme : Très bien.

    Homme : Vous pouvez passer.

    Le bateau dépasse le pont.

    Bard : Phew.

    Tout le monde se décapuche.

    Bard :  C'était moins une.

     

    PAGE 7

    Sebastian : Je suis surpris qu'ils nous ont laissé passer si facilement. Je n'arrive pas à croire que des ornements de cheveuxétaient suffisants pour les duper....

    Sebastian : Bard et moi ne ressemblons pas du tout à des femmes...

    Bard : Allez, je suis canon.

    Lau : La police de la Tamise fait partie des forces de la police métropolitaine, mais  c'est une division très indépendante. Lord Randall ne peut pas toujours garder un œil sur eux.

    Lau : Alors nous sommes "bons amis" depuis un bon moment.

    La nuit passe. Le jour se lève.

    Ils arrivent à la gare de Reading.

     

    PAGE 8

    A l'intérieur de la gare, il y a du monde.

    Sebastian : Nous devons nous séparer ici.

    Sebastian : Soyez prudents, tout le monde.

    Les quatre groupes prennent chacun leur train.

     

    PAGE 9

    Du côté de Bard et Lau, durant leur voyage.

    Bard observe Lau, pensif.

    Bard (pensée) : Nous devons beaucoup à ce gars chinois.

    Bard (pensée) : ...mais je me sens mal à l'aise à côté de lui, car je ne peux jamais savoir ce qu'il pense...

    Bard sort une boite.

    Lau : Je demande...Est-ce que tâter "ça" est ton dernier recours ?

    Lau : Ça doit vouloir dire...que notre adversaire est redoutable.

     

    PAGE 10

    Bard : Ce sont juste les bonbons que le jeune maître m'a donné.

    Lau : Oh, vraiment ?

    Lau : Alors pourrais-je en avoir un ?

    Après un moment, Bard soupire.

    Lau : Monsieur le cuisinier, vous semblez quelque peu abattu.

    Bard : Ouais, bien sûr...

     

    PAGE 11

    Bard : Un sanatorium pour anciens soldats n'est pas très différent d'un hospice.

    Bard : Les soldats qui sont marqués comme inutiles sont jetés là-bas et y attendent leur mort.

    Bard : Un riche gars comme vous ne voudrait pas être là.

     

    PAGE 12

    Ils arrivent à Wiltshire, devant le sanatorium Athena pour anciens soldats. Bard et Lau sont habillés en nobles.

    Bard (étonné) : Est-ce le sanatorium ?

     

    PAGE 13

    Bard (pensée) : Le bâtiment est bien plus récent et propre que je ne l'avais imaginé.

    Lau : Confirmons nos rôles avant d'entrer.

    Lau : Maitre cuisinier...

    Lau : ...est le second fils d'un aristocrate qui est rentré à la maison après avoir été blessé au front durant le conflit colonial.

    Lau : Je suis votre médecin privé....

    Lau : ...qui a été engagé pour s'occuper de vous, puisque les souvenirs de la guerre vous ont traumatisés et vous ont rendu émotionnellement instable.

    Lau (tient une lettre) : Ces documents et papiers d'identité sont de parfaites contrefaçons.

    Bard : Bien...Allons-y.

     

    PAGE 14

    Ils entrent et tombent sur une infirmière masqué.

    Lau : Bonjour.

    Lau : Voici Monsieur Burgh, qui a été admis dans ce sanatorium à partir d'aujourd'hui. Et je suis son médecin privé.

    Infirmière : ....

    Infirmière : Par ici.

    Elle les mène à un salon.

    Infirmière : Prenez un siège et attendez, je vous prie. L'infirmière en chef sera là dans un moment.

    Elle s'en va.

    Lau : L'infirmière en chef....

     

    PAGE 15

    Lau (délire) : Est-ce la dénommée 'guérisseuse miracle" qui va déjà faire son apparition ? J'espère qu'elle est un magnifique ange, comme son nom l'insinue.

    Bard : Toutes les infirmières sont des anges pour le personnel militaire... Peu importe quelle sorte de femmes elles sont.

    Bard (s’assoit) : Elles travaillent dans les hôpitaux de campagne infestés de rats et de vers. Elles tiennent la main des soldats qui pleurent et crient leur envie de retourner chez eux. Elles réconfortent les soldats...

    Bard : ...Quand elles veulent pleurer elles-mêmes...

    Lau : Maitre cuisinier...?

    On toque à la porte. Elle s'ouvre.

     

    PAGE 16

    Des personnes en uniformes, masques à gaz et boucliers entrent.

    Bard et Lau : Eh....

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