• Chapitre 169 : Le majordome, criant

    Traduction du texte en VF du chapitre 169 de Black Butler.

    Chapitre 169 : Le majordome,

    Chapitre 169 : Le majordome, criant

     

    "L'éclat de la peau."

     

    Source scans : Traduction officielle de YenPress (scans)

     

     

    PAGE 1

    La nuit, au manoir Heathfield. Les domestiques dorment. Elles se réveillent en entendant des bruits.

    Servante 1 : Hmm...?

    Servante 1 : Tu...Tu entends ça ?

    Servante 2 : Eek. Est-ce que cet endroit tremble ?

    Servante 1 : Est-ce un tremblement de terre ?

     

    PAGE 2

    Les servantes sortent de leur chambre.

    Servante 1 : Quel est ce bruit ?

    Servante 3 : Ça vient d'en bas.

    Abbie : ...!

    Abbie descend les escaliers et tombe sur l'intendant.

    L'intendant : Mme Abbie, ce bruit...

    Abbie : Oui, quelque chose se passe dans le sous-sol...

    Abbie : !!

     

    PAGE 3

    Toutes les servantes enlevées au sous-sol accourent dans le hall. Abbie et l'intendant sont choqués.

     

    PAGE 4

    Toutes les servantes sont descendues de leur chambre et tombent sur elles.

    Servante 1 : Hein ? Je pensais que vous aviez toutes été congédiées...

    Servante 1 : Pourquoi vous êtes là ?!

    Annie : Nous avons toutes été gardées endormies dans le sous-sol.

    Servante 1 (choquée) : HEIN ?!

    Servante 1 : Le Yard ! Appelez Scotland Yard !

    Servante 2 : Oui !

    Abbie : A-attendez !! Vous devez obéir aux ordres de la gouvernante du manoir-- !!

    Quelqu'un brandit un pistolet dans la nuque d'Abbie.

     

    PAGE 5

    Jane la tient en joue.

    Jane : C'est la fin des recherches du baron pour trouver sa femme.

    Abbie : Jane....

    Mey-Linn et Ran-Mao tiennent aussi le majordome principal, qui se rend.

    Abbie : Vous...

    Abbie : Traitre !

     

    PAGE 6

    Jane (sourit narquoisement) : Oh ?

    Jane : Dans la description du travail...

    Jane : "une servante qui ne trahit jamais son employeur" n'était pas spécifié.

    Alors que les servantes enlevées se regroupent dans le hall, le baron descend les escaliers.

    Heathfield : Que...

    Heathfield : Bon sang, que se passe-t-il ici...

     

    PAGE 7

    Heathfield (panique) : Pourquoi mes mariées candidates sont ici ?!

    Servantes (en colère) : "Mariées"...?

    Servante 1 : Vous nous appelez "mariées".

    Servante 1 : "Ton âme a une ressemblance avec celle de ma femme" ?

    Servante 2 : Comment avez-vous osé nous tromper ?

     

    PAGE 8

    Toutes les servantes se ruent sur Heathfield.

    Servante 1 : Vous êtes un ennemi des femmes !

    Servante 2 : Brute !

    Servante 3 : Vos méthodes étaient affreuses !!

    Servante 4 : Pervers !

    Servante 5 : Allez en enfer !!

    Mey-Linn : Maintenant, nous partons, Ran-Mao.

    Mey-Linn : Le Yard s'occupera de la suite.

     

    PAGE 9

    Dehors, Mey-Linn, Ran-Mao et Jane quittent le manoir.

    Jane : Bien.

    Jane : Je suis de nouveau sans emploi.

    Jane : Je me demande où je vais aller, ensuite. Je n'ai pas pu obtenir de références, naturellement.

    Mey-Linn : Ça ne me dérange pas de te donner des références.

    Jane : Non merci. Je refuse de travailler pour un maître qui traite ses domestiques comme des esclaves.

     

    PAGE 10

    Jane : Je vais aller quelque part où il n'y a pas de collègues pénibles.

    Jane dénoue son tablier et s'en débarrasse.

    Jane : A la prochaine.

     

    PAGE 11

    Mey-Linn et Ran-Mao regardent le manoir.

    Mey-Linn : Retournons...

    Mey-Linn : ...vers le jeune maître.

    Au manoir Phantomhive.

    Undertaker est nonchalamment allongé sur la méridienne, devant le lit de "Ciel". Ce dernier dort tout en se faisant transfuser du sang. Undertaker médite. Quelqu'un frappe à la porte.

     

    PAGE 12

    Homme en capuche noire : Je viens de rentrer.

    Undertaker : Bon retour...

    Undertaker : ...Polaris.

    Polaris : ...J'ai quelque chose à rapporter.

    Undertaker : Ça ne semble pas être de bonnes nouvelles.

    Polaris : ...Non.

    Polaris : L’usine de sang dans le nord a été attaquée et annihilée.

    Polaris : Le baron Heathfield a été arrêté.

     

    PAGE 13

    "Ciel" : ....FU.

    "Ciel" : Ha, ha, ha !

    "Ciel" : Ce n'est pas du tout une mauvaise nouvelle.

    "Ciel" : C'est ma première dispute sérieuse avec mon petit frère, et il a gagné le premier round.

    "Ciel" : Rien ne peut me faire plus plaisir que cela.

    Undertaker : Hee, hee... Exactement ce dont je m'attendais à ce que tu dises--

    Polaris (en colère) : Il n'y a rien de quoi en être heureux !!

     

    PAGE 14

    Il pique une grosse crise de colère et s’époumone.

    Polaris (se prend la tête dans les mains) : SI NOUS ECHOUONS A L'ARRETER, NOUS ALLONS MANQUER D'ECLAT QUE NOUS DEVONS OFFRIR A LORD SIRIUS.

    Polaris : CES IDIOTS INUTILES !!

    Polaris : CHACUN D'ENTRE EUX EST UN COMPLET BON A RIEN !!

    Polaris (se jette sur les rideaux et les déchire) : J'AURAIS DU LES TUER TOUS ET EXTRAIRE D'EUX CHAQUE GOUTTE DE SANG !!

     

    PAGE 15

    Polaris : NON, CE N'EST PAS TROP TARD. JE LES TRANSFORMERAI TOUS EN HACHIS !!

    Il se saisit de son couteau et le plante dans le sol. Il s'agenouille.

    "Ciel" : Polaris.

     

    PAGE 16

    "Ciel" : Je ne suis plus "Lord Sirius".

    "Ciel" : Ce titre concerne mon petit frère, maintenant.

    Polaris : Ah...Lord Ciel.

    Polaris : P-pardonnez...moi.

    Il est très faible, a du mal à respirer et tremble.

    "Ciel" : Tu es pale.

    "Ciel" : C'est relativement facile de collecter du sang frais pour toi... Mais cependant, tu ne peux pas travailler trop longtemps.

     

    PAGE 17

    "Ciel" : Retire-toi et prends la journée pour te reposer.

    Polaris : ....

    Polaris : Je...

    Polaris : Je suis terrifié.

    Polaris : Si je dois perdre mon maître une nouvelle fois...

    Polaris : ...je ne pourrai pas me reposer même si je meurs.

    Undertaker a le visage sombre.

    Polaris : Je ne peux même pas imaginer à quel autre endroit je pourrais être...

     

    PAGE 18

    Polaris pleure.

    Polaris : Puisque je suis...

    Polaris : ...un majordome, même dans la mort.

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