• Chapitre 167 : Le majordome, redoutable

    Traduction du texte en VF du chapitre 167 de Black Butler.

    https://64.media.tumblr.com/7225f91e4c7ca0572d812e9b40a37b2b/1e75b68670da8c13-eb/s1280x1920/d1b6bf67a20ab5ea67d903527c03c91bca5d9629.jpg

    Chapitre 167 : Le majordome, redoutable

     

    "Son corps est son arme ultime."

     

    Source scans : Traduction officielle de YenPress El Enterrador y sus Locuras (FB espagnol)

     

     

    PAGE 1

    Ran-Mao se prépare à frapper le lord.

    Ran-Mao : Je frappe les pervers.

    Ran-Mao : Conduis-moi aux servantes.

    Heathfield : V-vraiment, elles sont toutes rentrées chez elles.

    Heathfield : C'est tout ce que--

     

    PAGE 2

    Ran-Mao lui assène un grand coup de pied, ce que le fait tomber à terre, la bouche en sang. Ran-Mao s'assoit sur lui pour le menacer.

    Ran-Mao : Dis le moi rapidement.

    Heathfield : Argh....

    Elle se remet à le frapper.

    Ran-Mao : Tu n'as pas besoin de tes dents ?

    Ran-Mao : Ou de tes ongles ?

     

    PAGE 3

    Alors qu'elle allait encore le frapper, Heathfield crie.

    Heathfield : Je vais te le dire ! Je vais te le dire, aussi où elles sont retenues !

    Heathfield : Ces filles--

    Soudain, Ran-Mao sent quelque chose la piquer.

     

    PAGE 4

    Une fléchette lui a été tiré dans le cou. Ran-Mao se retourne vers Jane.

    Ran-Mao : Tu es...

    Jane : Oh, mon cher... Je t'avais prévenu au sujet des sœurs chinoises, n'est-ce pas ?

     

    PAGE 5

    Ran-Mao commence à perdre connaissance. Elle s'évanouit sur le lord.

    Heathfield : Je n'avais jamais imaginé qu'elle était une bête aussi sauvage...

    Jane (sourire sournois) : Oh, tu ne savais pas...?

    Jane : ...que toutes les femmes sont des bêtes sauvages ?

     

    PAGE 6

    Jane attrape Ran-Mao par le col et la traine.

    Jane : Nous allons nous débarrasser de cette femme.

    Jane : Restez dans votre chambre jusqu'à ce que les blessures à la tête disparaissent.

    Jane : Cette vue est indécente pour un maître de maison.

    Ran-Mao ouvre les yeux, puis sombre.

    De retour au présent, Ran-Mao enserre Jane.

     

    PAGE 7

    Jane : Nous t'avons donné des sédatifs par intraveineuse pour que tu reste endormie.

    Jane : Alors comment...!

    Ran-Mao : Tu ne le sais pas ?

    Ran-Mao : L'opium... est plus "puissant".

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