• Chapitre 166 : Le majordome, non identifié

    Traduction du texte en VF du chapitre 166 de Black Butler.

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    Chapitre 166 : Le majordome, non identifié

     

    "L'orgueil d'une femme de chambre."

     

    Source scans : Traduction officielle de YenPress (scans)

     

     

    PAGE 1

    Ciel : Mon frère, qui m'a piégé, n'a pas complètement vaincu la mort. Je pense qu'il est encore un des corps réanimé d'Undertaker, simplement une nouvelle version améliorée.

    Sebastian : Le plus probable... Ces corps requièrent d'immenses quantités de sang pour continuer à fonctionner....

    Sebastian : ...et le Sphere Music Hall était probablement la planque pour collecter le sang nécessaire.

     

    PAGE 2

    Ciel : La société Aurora.

    Ciel : L'Undertaker tirait les ficelles...

    Ciel : ...alors mêmes après que le Campania a coulé... Il est possible que les membres liés à Undertaker...

    Ciel : ...ont simplement changé le nom et la structure de l'organisation, et ont repris leurs activités.

     

    PAGE 3

    Sebastian : Le manoir du baron Heathfield dans le North Yorkshire.

    Sebastian : Un sanatorium pour d'anciens militaires dans le Wiltshire.

    Sebastian : Un nouvel orphelinat établi dans le Norfolk.

    Sebastian : Un nouvel hôtel à Brighton.

    Sebastian : Ces quatre ont le plus élevé ma suspicion.

     

    PAGE 4

    Ciel : Vous travaillerez par paires...pour chacune de ces missions.

    Ciel : Si vous ne trouvez aucune trace de collecte de sang...  Repliez-vous tout de suite et revenez ici.

    Ciel : Cependant... Si la preuve est là...

     

    PAGES 5-6

    Ciel : ...démantelez minutieusement l'opération !

    De retour du côté de Mey-Linn et Jane, qui se regardent en se tenant en joue.

     

    PAGE 7

    Jane : Tu n'as pas été impressionnée par notre offre de tripler ton salaire actuel... C'est fâcheux.

    Jane : Tu...

    Jane : ...t'avères être bien plus idiote que je ne le pensais.

    Jane soulève une hachette au-dessus de la tête de Ran-Mao, endormie. Mey-Linn panique.

     

    PAGE 8

    Jane brandit la hachette.

    Jane : Je suppose que nous avons échoué à trouver un arrangement !

    Mey-Linn : RAN-MAO--

    Un coup résonne.

     

    PAGE 9

    Jane a frappé dans l'oreiller. Ran-Mao bondit par derrière.

    Jane : !? Où est-elle--

     

    PAGE 10

    Ran-Mao bondit sur Jane et s'enroule autour d'elle.

    Jane : Gah !

    Mey-Linn est médusée.

     

    PAGE 11

    Ran-Mao immobilise Jane en l'enserrant au cou et à la taille. Jane laisse tomber son arme et tombe à terre.

     

    PAGE 12

    Mey-Linn : Ran-Mao, je suis si heureuse !

    Mey-Linn : Faisais-tu juste semblant d'avoir été capturée...!?

    Ran-Mao : Je viens juste de me réveiller. Les coups de feu étaient bruyants.

    Mey-Linn : Hein. Tu étais vraiment endormie, vraiment !?

    Ran-Mao : Cette femme m'a endormie.

    Ran-Mao enserre toujours Jane.

     

    PAGE 13

    Retour sur la nuit où Ran-Mao a disparu. Elle arrive dans la chambre du baron.

    Heathfield : Je suis heureux que tu sois venue ici... Ran.

    Heathfield : Viens... Ne sois pas timide.

    Heathfield : Prends ton temps ce soir pour me montrer la forme de ton âme....

    Ran-Mao s'approche de lui, il lui caresse la joue.

     

    PAGE 14

    Ran-Mao : Qu'est-il arrivé aux autres servantes ?

    Heathfield est surpris.

    Ran-Mao : Vous vous êtes ennuyé d'elles.

    Heathfield : Pas du tout !

    Heathfield : Elles étaient toutes des femmes merveilleuses.

    Heathfield : Mais-- Elles étaient différentes...

     

    PAGE 15

    Heathfield : Leurs âmes n'avaient pas la même forme...

    Heathfield : ...que celle de ma femme décédée.

    Ran-Mao : Avez-vous tué les servantes ?

    Heathfield : Certainement pas ! Je n'ai jamais commis un tel acte aussi atroce !

    Heathfield : Elles sont toutes rentrées chez elles.

    Heathfield : Tu n'as rien à craindre. Je ne te ferai pas de mal.

    Heathfield : Maintenant ouvre ton cœur... et appelle-moi Chris à présent...

    Il attire Ran-Mao à lui, pose sa tête sur sa poitrine et lui caresse la hanche.

     

    PAGE 16

    Ran-Mao lui assène un énorme coup de poing.

    Heathfield s'étale au sol, le nez en sang, choqué.

     

    PAGE 17

    Heathfield : QU...!?

    Ran-Mao : Je frappe les pervers.

    Heathfield : QUOI ?

    Ran-Mao : Amenez-moi...

    Ran-Mao : ...les servantes.

    Elle se met en position de combat.

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